Pour une mobilité électrique sans restriction, Renault propose à la clientèle de la nouvelle Mégane E-Tech Electric le Mobilize Charge Pass avec un crédit de départ de 200 francs. Celui-ci permet de recharger les 2000 premiers kilomètres d'autonomie sur une borne de recharge rapide DC ou les 3000 kilomètres sur une borne de recharge AC jusqu'à 22 kW.

Une fois activé, le Charge Pass ouvre l'accès à plus de 200 000 points de charge publics dans 25 pays européens et permet de payer et de s'identifier facilement.

Un forfait tout compris attractif pour le lancement
Les clients reçoivent également gratuitement la Wallbox et une offre pour son installation. Pour les trajets particulièrement longs, les utilisateurs d'une Mégane E-Tech Electric bénéficient, dans le cadre de l'offre Switch Car, de l'accès à un véhicule alternatif gratuit - un peu plus tard également en Suisse.

Pour un supplément de 100 francs par mois, les clients du leasing peuvent opter pour un pack tout compris attrayant. Celui-ci comprend également l'entretien du véhicule, l'assurance casco complète avec assurance occupants, dommages de parking et assistance ainsi qu'une couverture en cas de dommage total et une assurance de protection des mensualités en cas de chômage involontaire.

Trois versions d'équipement au choix
Le système d'info-divertissement embarqué Open R Link contribue également à l'expérience d'e-mobilité de la Mégane E-Tech Electric, avec le téléchargement gratuit d'applications et un forfait de 3 Go de données pour le streaming et les mises à jour logicielles Over-the-air.

La Mégane E-Tech Electric pourra être commandée à partir de février 2022. Le prix d'entrée de gamme de la version Equilibre est de 38 500 francs, tandis que le modèle Tecno coûte 41 500 francs et l'Iconic 44 500 francs.

L'équipement Equilibre comprend déjà la batterie de 60 kWh et le moteur électrique de 162 kW.

renault.ch

La Ford Puma Rally 1 de M-Sport remplacera la célèbre Fiesta l'année prochaine.

L'entreprise a profité de l'événement pour présenter également sa future World Rally Car : la M-Sport Ford Puma Rally 1. Pour cela, un circuit de rallye avec des chicanes a été construit dans l'usine pour le sportif automobile Adrien Formaux.

Poussée d'un moteur électrique de 100 kW
La Ford Puma Rally 1 de M-Sport remplacera l'année prochaine la célèbre Fiesta. Première voiture de compétition électrifiée de la marque, elle est équipée d'un système de propulsion hybride de nouvelle génération qui récupère l'énergie de freinage et la stocke dans une batterie de 3,9 kWh pour compléter la puissance du moteur à essence Ecoboost turbocompressé de 1,6 litre par des poussées supplémentaires provenant d'un moteur électrique de 100 kW (136 ch).

Aux côtés d'Adrien Fourmaux, le recordman du monde Sébastien Loeb sera l'un des pilotes Ford lors de la première de la Puma Rally 1 à l'occasion du Rallye de Monte-Carlo en janvier 2022.

Un investissement de plus de 300 millions de dollars
L'usine roumaine a été ouverte il y a douze ans et emploie environ 6000 personnes. Le site a d'abord produit le Transit Connect. Le B-Max et l'Ecosport ont suivi, avant que la production de la Puma ne démarre en 2019.

Ford a annoncé qu'il allait investir plus de 300 millions de dollars dans l'usine afin de construire un nouveau véhicule utilitaire léger à Craiova en 2023, y compris une version entièrement électrique qui devrait être lancée en 2024.

performance.ford.com

Ken Block : "Avec Audi qui a maintenant développé cette voiture pour mon équipe et moi et qui nous accompagne dans notre prochain projet, c'est un rêve qui devient réalité pour moi".

L'Audi S1 e-tron quattro Hoonitron rappelle immédiatement la légendaire Audi Sport quattro S1, avec laquelle les quatre anneaux ont jadis pris d'assaut le célèbre Pikes Peak.

Ken Block : "La S1 Hoonitron réunit une grande partie de ce qui faisait déjà la réputation d'Audi dans les années 80. Par exemple, un aérodynamisme spectaculaire qui a maintenant été transposé dans une forme absolument moderne. Je trouve ça cool que les designers d'Audi se soient inspirés de leur propre passé et aient transposé les technologies et le look de manière unique à notre époque".

Enthousiasme après le premier test
Deux moteurs électriques, quatre roues motrices, de la puissance à revendre, un châssis en fibre de carbone et des normes de sécurité complètes imposées par la plus haute autorité du sport automobile, la FIA : voilà les chiffres purs de la voiture.

Une première rencontre a eu lieu en novembre. Audi a donné à la star américaine de YouTube la possibilité de tester la voiture pendant quelques jours en Allemagne.

Ken Block : "Je connais beaucoup de voitures avec un moteur à combustion et une boîte de vitesses, mais ici, j'ai dû réapprendre beaucoup de choses. C'est une expérience totalement nouvelle que de passer directement de l'arrêt à un donut à 150 km/h, uniquement avec le pied droit. Nous avons travaillé de manière concentrée pour que la voiture et moi puissions nous habituer l'un à l'autre. Merci à toute l'équipe d'Audi Sport pour cette formidable collaboration".

Design en seulement quatre semaines
L'ensemble du développement et de la technologie de la S1 Hoonitron a été réalisé par Audi Sport sur le site de Neckarsulm, où est également construite l'Audi RS e-tron GT1. L'Audi Design d'Ingolstadt est responsable de la conception.

Une tâche peu commune pour le designer en chef d'Audi et son équipe.

Marc Lichte : "Il s'agissait de créer une interprétation moderne et purement électrique de la S1 Pikes Peak. Le calendrier était extrêmement serré : alors que notre processus de conception prend normalement un an à un an et demi, nous n'avons eu ici que quatre semaines entre le premier dessin et le design final. Nous avons été en contact permanent avec Ken Block et son équipe et avons eu des échanges intensifs".

Le prochain chapitre de l'histoire du Gymkhana
Les fans pourront bientôt constater par eux-mêmes à quel point la star américaine y parvient. Ken Block et son équipe vont produire avec le S1 Hoonitron le prochain épisode des célèbres vidéos Gymkhana. Titre provisoire : Elektrikhana.

Ken Block : "La collaboration avec Audi est pour moi un partenariat très spécial. La marque et sa passion pour le sport automobile m'ont fait découvrir le rallye. Le Hoonitron écrit le prochain chapitre de notre histoire et fait entrer notre histoire du gymkhana dans l'avenir".

audi.ch

Le Suisse, qui est désormais classé Gold, participera avec Anders Fjordbach et Dennis Andersen aux courses de l'IMSA Michelin Endurance Cup au volant de l'Oreca 07 LMP2 de l'équipe danoise High Class Racing. Celle-ci comprend les 24 heures de Daytona, les 12 heures de Sebring, les 6 heures de Watkins Glen et les 10 heures du Petit le Mans à Road Atlanta.

Nouveau pays USA
Pour le pilote d'Engelberg, les courses aux Etats-Unis seront un nouveau défi. Avec ses récents succès en championnat du monde d'endurance - deux victoires en LMP2 en cinq départs avec United Autosports - il s'est donné les moyens d'accéder à la catégorie reine des voitures de sport aux États-Unis.

Fabio Scherer : "Je me réjouis de ce nouveau challenge. Ce sera certainement passionnant, surtout si je pense aux nombreux parcours old school. En fait, je ne suis jamais allé aux États-Unis auparavant. Tout sera donc nouveau pour moi" !

Première à Daytona
La saison débutera pour Fabio Scherer et sa nouvelle équipe avec le "Roar before the 24" du 21 au 23 janvier 2022. Il s'agit des essais officiels de toutes les équipes qui participeront une semaine plus tard aux 24 heures du Mans.

Fabio Scherer : "High Class Racing a un bilan impressionnant. Et nous attendons tous avec impatience les premiers tours de piste à Daytona, où ils ont obtenu de bons résultats l'année dernière. Comme je suis passé d'un statut de pilote argent à un statut de pilote or, ce sera aussi un nouveau défi pour moi de diriger l'équipe dans cette nouvelle aventure".

Des détails sur la suite du programme de course de Fabio Scherer suivront dans la nouvelle année.

fabioscherer.ch

imsa.com

C'est à l'hôtel Meilenstein de Langenthal que les nombreux pilotes de karting venus de Suisse ont reçu leurs prix en présence du président de la CSN, Andreas Michel, et du comité Karting dirigé par Theo Bertschi.

Tiziano Kuzhnini (Super Mini), Elia Pappacena (CO Junior), Savio Moccia (X30 Challenge Switzerland), Patrick Näscher (CO Senior), représenté par son père Norbert, ainsi que Nicolas Rohrbasser (KZ2) ont eu le plaisir de soulever la coupe portant le "1" en tant que champions.

Des montres de valeur et des essais TCR
Les coupes remises par le pilote LMP2 Fabio Scherer n'ont pas été les seules à trouver preneur. Les pilotes se sont également réjouis de la somme d'argent et des autres prix en nature. Ainsi, les trois premiers des catégories X30, OK Senior et KZ2 ont reçu chacun un chronographe du sponsor horloger Formex.

Les champions des catégories OK Junior, X30, OK Senior et KZ2 se sont vu remettre par le pilote automobile Yannick Mettler et le chef d'équipe Autorama Stefan Tanner un bon pour un essai de la VW Golf GTI TCR d'Autorama Motorsport by Wolf-Power Racing. Les quatre champions pourront utiliser ce prix au printemps 2022.

Les nouveaux venus ne repartent pas les mains vides
Parmi les autres gagnants de la soirée figuraient également les rookies. Dans chaque catégorie, le meilleur rookie a été récompensé par un trophée. Les gagnants de cette année s'appellent Sebastien Hirschi (Super Mini), Ethan Ischer (OK Junior), Alessio Strollo (X30), Lyon Mathur (OK Senior) et Michel Liechti (KZ2).

Dans le classement féminin toutes catégories confondues, Chiara Bättig, âgée de 11 ans, a remporté la victoire devant Tina Hausmann.

La prochaine saison débutera le 17 avril à Franciacorta, en Italie. Les autres dates : 22 mai, Mirecourt (F) ; 3 juillet, 7 Laghi (I) ; 21 août, Levier (F) ; 8 octobre, Wohlen.

Tous les classements finaux et les portraits des différents champions sont disponibles sur le lien suivant.

motorsport.ch/fr/kartsport

Les scènes d'accident qui ont conduit à l'interruption et à la fin prématurée.

Depuis 2017, Ralph Boschung court plus ou moins régulièrement en Formule 2 FIA. Le Valaisan de 24 ans n'avait encore jamais aussi bien couru que lors de la saison qui s'achève - mais ce n'est que dimanche soir en Arabie Saoudite qu'il a réussi à décrocher son premier podium.

Grave accident au décollage
Sa troisième place méritée a été obtenue dans des conditions dramatiques. Parti en septième position pour la course principale, Boschung s'est propulsé à la troisième place dès le premier tour. Malheureusement, le départ a été marqué par un grave accrochage entre le Français Théo Pourchaire, qui s'était arrêté, et le Brésilien Enzo Fittpialdi, qui lui est rentré dedans.

Les deux pilotes ont été transportés à l'hôpital. Alors que Pourchaire a lui-même levé l'alerte, une fracture du pied droit a été diagnostiquée chez Fittipaldi.

Après une interruption, un nouveau départ a été donné, mais la course, encore limitée à 20 minutes plus un tour, n'a de nouveau duré que cinq tours avant qu'un nouvel accident, sans conséquences graves, n'entraîne l'arrêt définitif de la course.

A peine croyable
L'Australien Oscar Piastri a remporté la mini-course devant son compagnon d'écurie russe Robert Shwartzman et Ralph Boschung. Pour le pilote suisse de l'équipe espagnole Campos, pour laquelle il continuera à courir en 2022, il s'agissait du premier podium tant attendu dans la deuxième catégorie de jeu.

Ralph Boschung : "Même si ce n'était pas une course normale, j'en suis heureux. Je suis aussi content pour mon équipe. J'ai pu éviter Pourchaire et freiner Zhou dans le premier virage, ce qui m'a permis de terminer troisième, ce qui était à peine croyable. Le départ a longtemps été mon problème, mais nous avons réussi à l'améliorer d'année en année, course après course, et je pense que nous avons maintenant trouvé l'astuce".

Décision le week-end prochain
Seule ombre au tableau : en raison de la brièveté de la course, seuls des demi-points ont été attribués. Comme Boschung ne s'est pas classé dans le top 10 lors des deux courses de sprint - mais qu'il était déjà sur le podium en tant que troisième jusqu'aux problèmes de freins lors de la première course - et qu'il est donc reparti bredouille, il reste douzième au classement.

Avec 213,5 points, Piastri, 20 ans, est clairement en tête du championnat devant Shwartzman (162) et le prochain pilote de GP Alfa/Sauber, le Chinois Guanyu Zhou (149). Avec un bon week-end à Abu Dhabi, Ralph Boschung pourrait encore se hisser dans le top 10.

fiaformula2.com

C'est ce qu'on appelle une saine rivalité. Au cours des deux dernières saisons, Alexander Fach et Dominik Fischli se sont disputés les victoires de manche et le titre de champion dans la catégorie reine GT3 de la Porsche Sports Cup Suisse. Les deux années, Fach a pris le dessus.

Aujourd'hui, les deux juniors suisses officiels de Porsche prennent le départ d'une course commune pour clore le programme de promotion, avec le soutien de Porsche Suisse SA.

Une classe à part pour la nouvelle Porsche Cup
Aux 24 Heures de Dubaï, du 13 au 15 janvier 2022, ils partageront le cockpit d'une Porsche 911 GT3 Cup de dernière génération 992 engagée par Fach Auto Tech. L'organisateur des 24H Series a créé à cet effet une nouvelle classe 992 qui, selon la liste de départ provisoire, comprend 15 voitures, ce qui signifie qu'elle rencontre un grand écho.

Fach et Fischli connaissent parfaitement leurs trois coéquipiers. Peter Hegglin, qui est déjà monté sur le podium avec eux, Jan Klingelnberg, qui participe au GT Open, et le vétéran Marcel Wagner, qui fera une pause en 2021, se relaieront au volant. Wagner a déjà fait partie de l'équipe de spécialistes lors de précédentes participations à Dubaï.

Une première pour les deux
Pour les deux juniors, il s'agira de leur première participation à une course de 24 heures. Il ne fait aucun doute qu'ils se réjouissent de cette aventure commune.

Alexander Fach : "Nous avions déjà parlé à plusieurs reprises d'une participation commune et nous avons pensé aux 24 heures de Dubaï. Nous avons ensuite abordé quelques collègues Porsche dans le paddock et avons ainsi formé une super équipe. Un projet méga cool".

Un bon investissement dans l'avenir sportif
Le Schwytzois de 19 ans connaît la 992 GT3 Cup depuis la fin de la saison de la Porsche Sports Cup Suisse, le 6 novembre à Misano, où il a disputé avec elle la course de nuit de deux heures, qu'il a remportée haut la main suite à ses deux victoires au sprint et à l'assurance de son titre de champion.

Pour le talentueux fils du chef d'équipe Alex Fach, le départ à Dubaï sera également un bon exercice en vue de la saison européenne 2022. Il est prévu qu'il passe à la Carrera Cup Deutschland.

Alexander Fach : ""Je dois franchir cette nouvelle étape pour continuer à progresser, même si je ne serai pas tout de suite dans le peloton de tête. C'est le meilleur package qui décidera de l'équipe dans laquelle je vais courir, la mienne ou une autre. Grâce à Dubaï, la pause hivernale sans course ne sera pas si longue".

Se faire remonter les bretelles
La première intervention chez Fach Auto Tech sera évidemment passionnante pour Dominik Fischli. Sa défaite au championnat contre Alexander ne lui pose aucun problème, bien au contraire. Après tout, c'était aussi son souhait de rouler avec lui.

Dominik Fischli : "Je donne toujours tout. Parfois, j'étais plus rapide qu'Alexander à l'entraînement. Mais le jour de la course, il a fait un pas de plus. C'était super pour lui comme pour moi. Car sans lui, je ne serais pas au niveau de pilotage actuel, car nous nous sommes poussés mutuellement".

fachautotech.ch

24hseries.com/races/hankook-24h-dubai-2022

porsche.ch

Hormis la Porsche Sports Cup Suisse, qui ne se déroule que sur des circuits dans les pays voisins, la Renault Classic Cup a été la seule coupe nationale de marque à réaliser un championnat varié la saison dernière.

Un changement de système sans écho positif
La série de courses organisée par le club privé des propriétaires et conducteurs de différents modèles de Clio a proposé, après une année de pause forcée, un mélange toujours aussi unique de slaloms, de courses sur circuit et d'une seule course de côte.

Ainsi, l'issue du championnat est représentative, même si l'éclatement en classes pour les Clio II, Clio RS III et Clio R.S. IV, décidé lors de la dernière assemblée générale peu avant le début de la pandémie en février 2020, n'a pas eu l'effet escompté. Les classes des "deux" et des Turbos récentes n'ont jamais compté au moins cinq participants, si bien que seuls des demi-points y ont été attribués.

Des victoires en Clio pour consoler Tom Zürcher
Les "trois" étaient seulement en sous-effectif lors de l'ouverture de la saison au Nürburgring, longtemps incertaine, et suffisamment bien représentés à partir du deuxième des cinq week-ends de course avec huit manches au total. C'est ainsi que Thomas Zürcher (galerie à gauche), de retour dans la Coupe avec la Clio RS III reprise à Dario Kasper, s'est hissé en tête du classement grâce à sa série de victoires.

"Tom" pouvait même se permettre d'encaisser un zéro volontaire à la course de côte d'Oberhallau pour y prendre le départ avec la Tatuus-Abarth chez les voitures de course. Avec la F4-Monoposto parfaitement remise en état après le grave accident d'Anzère en 2019, le Bernois voulait en fait participer au championnat suisse de la montagne en 2021. Mais d'une part, il n'y en avait pas et d'autre part, le moteur Abarth tuné fonctionnait tout sauf bien, si bien qu'après Oberhallau, il est retourné chez le tuner LRM en Italie.

Le loup a mordu lors de la finale de la saison
Malgré son absence, Zürcher est resté en tête du classement, car Denis Wolf, dans la nouvelle Clio IV (galerie du milieu), n'avait jusqu'à présent pour adversaire que Pirmin Scheidegger et n'a obtenu, comme lui, que des demi-points. Le garagiste de Heimberg a donc saisi sa dernière chance de titre à Ambri en changeant de catégorie et en affrontant directement Zürcher.

Sur les deux différents parcours de slalom de l'aérodrome tessinois, Wolf, au volant de sa voiture championne de 2017 et 2018, s'est imposé à chaque fois devant le leader du championnat, aussi bien sur le sec le samedi que sur le mouillé le dimanche.

Denis n'a pas pu empêcher ce dernier de remporter son sixième titre, mais il est parvenu à dépasser Michael Schläpfer (galerie à droite) et à prendre la deuxième place du classement général. L'Appenzellois est passé en 2021 d'une Clio II à une Clio III achetée chez Bleekemolen aux Pays-Bas et a fêté sa victoire dans sa catégorie à Oberhallau.

Une nouvelle étoile au firmament de la Clio
Avec des demi-points pour ses deuxièmes places derrière Wolf et ses deux victoires en solo dans la Clio R.S. IV à Ambri, Primin Scheidegger a pris la quatrième place finale. Avec quatre places d'honneur entièrement évaluées en Clio III, Meverick Gerber (galerie inférieure droite), qui a sensiblement gagné en vitesse, s'est hissé à la cinquième place du classement. Comme Schläpfer, il a manqué le Nürburgring en mai.

En l'absence du champion en titre Philipp Krebs (qui a fait une "pause Corona" comme son ami René Schnidrig), Jürg Brunner a été le plus rapide avec une Clio II (galerie inférieure à gauche). Ce Toggenbourgeois de 25 ans, originaire du village de Bergrenn Hemberg, est une promesse d'avenir. Il ne manque ni de courage ni de compétences, mais seulement de routine.

L'exercice fait du bien
Le président du club, Stephan Zbinden, qui a repris le flambeau après 25 ans, n'a convaincu qu'à Oberhallau (galerie inférieure au milieu) en six participations. Après avoir obtenu à Hockenheim "des temps au tour plus mauvais que jamais", le Bernois a fait une journée d'essai sur le circuit de Bresse. Ce qui lui a visiblement fait du bien, comme l'a prouvé sa troisième place dans la course de côte.

Outre le vainqueur de la classe Schläpfer, seul Marc Beyeler, qui a fêté un nouveau podium en tant que troisième à Ambri 1, a été plus rapide et s'est classé 8e avec seulement quatre départs. En revanche, après être passé du "deux" au "trois", Patrick Gerber a encore besoin d'un peu d'entraînement. Ce dont il est capable, le cousin de Meverick l'a prouvé dernièrement en 2019 avec trois victoires à Hockenheim.

Espoir de voir plus de courses de côte et de pilotes en 2022
Andreas Bohni, un débutant absolu dans le sport automobile et deuxième rookie de la Cup, s'est classé dixième avec une Clio III. Avec seulement trois participations et à chaque fois des deuxièmes places de classe dans la "deux verte" éprouvée, le senior Hans Sigrist a pris la dernière place de la Renault Classic Cup 2021.

Celle-ci s'est achevée par l'hommage rendu au champion et à tous les classés dans le cadre d'une soirée conviviale à l'accueillante cabane du Gantrisch, près de la course du Gurnigel. Si davantage de courses sont organisées en 2022, notamment en montagne et en slalom, on peut s'attendre à davantage de participants. Le lieu et le format des courses seront décidés lors de la prochaine assemblée générale au printemps.

renault-classic.ch

Le premier week-end de novembre, le dernier week-end de course de la Porsche Sports Cup Suisse à Misano a marqué la fin d'une saison de sport automobile tout à fait réussie pour Sportec Racing. Dans la nouvelle Fanatec GT2 European Series, Christoph Ulrich a remporté le titre avec la KTM X-Bow (galerie de gauche) et Gregor Burkard a pris la troisième place du classement général dans la catégorie GT3 de la Porsche Sports Cup Suisse. Ricardo Burkard a également contribué à la réalisation des objectifs fixés pour la saison.

Le bilan du CEO de Sportec Racing est donc positif.

Gregor Burkard : "Je suis très heureux de la performance de toute l'équipe à travers les différentes séries de courses. Ce n'était pas prévu au départ, car nous nous sommes complètement réorganisés à tous les niveaux, en commençant par le sport automobile, en passant par le Classic et tous les autres domaines".

Aucune pierre n'est restée sur l'autre. Mais le succès donne raison aux hommes de Höri.

La joie de Marcel Fässler
Depuis cette année, le triple vainqueur du Mans Marcel Fässler tient les rênes de Sportec Racing en tant que Head of Motorsport. Il est clair que le Schwytzois y est aussi pour beaucoup et qu'il se réjouit des succès de ses pilotes.

Marcel Fässler : "En premier lieu, le titre de champion de la nouvelle SRO GT2 European Series a bien sûr été le point fort. Cela n'a fonctionné que grâce à une performance exceptionnelle de l'équipe et des pilotes et se reflète finalement dans les résultats".

Malgré une nouvelle série de courses et un nouveau concept de véhicule, les expériences accumulées au cours de la dernière décennie ont pu être utilisées et mises en pratique. Sur les dix courses qu'il a disputées, le pilote attitré Christoph Ulrich (galerie à droite avec le bouclier AM Champions), à qui Fässler reconnaît d'énormes progrès, a terminé six fois à la première place de sa catégorie et est monté neuf fois sur le podium au total.

Avec le savoir-faire et les performances de conduite nécessaires, des personnes expérimentées de la trempe de Hans-Joachim Stuck ou même l'équipe d'usine KTM ont été reléguées aux dernières places.

Il est clair que l'on défendra le titre la saison prochaine et que l'on voudra donc confirmer ce succès. Les négociations avec d'éventuels pilotes sont en cours.

Objectif atteint en Porsche Sports Cup Suisse
En Porsche Sports Cup Suisse, Sportec Racing, avec les deux frères Ricardo et Gregor Burkard, a terminé neuf fois sur le podium en douze courses sur six circuits différents.

Au classement final, Gregor s'est classé troisième au championnat de la GT3 Cup et Burkard dixième avec seulement trois participations à des courses. L'équipe est donc dans les clous et a rempli les objectifs définis en début de saison.

Marcel Fässler : "Ce succès aussi n'est dû qu'à une performance constante de l'équipe, sur laquelle on peut s'appuyer. Notre objectif doit être d'avoir également notre mot à dire dans l'attribution du titre de la Porsche Sports Cup Suisse".

sportec.ch/fr

Dans la vidéo de THE RACE, le contexte du Qatar Grand Prix et son histoire avec le MotoGP au centre, le circuit de Losail et la situation de départ du championnat du monde de Formule 1 sont expliqués.

Le week-end prochain, le GP fera pour la première fois escale au Qatar. Le circuit international de Losail, long de 5,418 km, se trouve aux portes de la capitale Doha et présente surtout des virages moyennement rapides et rapides. Cela s'explique en partie par le fait que le circuit est principalement conçu pour les courses de moto.

Lutte de position au virage 1
Ainsi, le MotoGP y court depuis son ouverture en 2004. Seules les voitures de tourisme ont jusqu'à présent organisé des manches du championnat du monde automobile au Qatar.

Il y a en tout dix virages à droite et six virages à gauche. La ligne droite d'arrivée est longue de plus d'un kilomètre et mène à une zone de freinage importante avant le virage 1, une épingle à cheveux. C'est aussi la seule zone DRS du circuit et la meilleure possibilité de dépassement en cas de freinage d'urgence.

Pas encore de décision préalable
Bien que le circuit de Losail soit en quelque sorte un voyage dans l'inconnu pour tous les participants, la hiérarchie actuelle ne devrait pas beaucoup changer. La seule question qui se pose est de savoir si Mercedes gardera le dessus comme il y a une semaine au Brésil ou si Red Bull Honda contre-attaquera.

Malgré sa défaite contre Lewis Hamilton, Max Verstappen est toujours en tête du championnat du monde des pilotes avec 332,5 contre 318,5 points. Même en cas d'échec du Britannique, il ne pourra y avoir de décision préalable que deux semaines plus tard au plus tôt, sur un nouveau circuit de GP en Arabie Saoudite.

Alfa Romeo Sauber prend congé de ses deux pilotes
Pour le duo sortant de Sauber, Kimi Räikkönen et Antonio Giovinazzi, il s'agira de la troisième et dernière occasion d'augmenter leur capital de points et celui de l'équipe d'Hinwil. Comme Alfa Romeo Racing l'a annoncé cette semaine, le Chinois Guanyu Zhou, actuellement deuxième de la FIA Formula 2 (décision en décembre en Arabie saoudite et à Abu Dhabi), sera le coéquipier du Finlandais Valtteri Bottas, connu depuis longtemps comme le nouveau fer de lance, pour la saison 2022.

Samedi 20 novembre, la télévision suisse diffusera les qualifications en direct sur SRF info de 14h55 à 16h10. Le dimanche, le GP du Qatar sera retransmis de 14h30 à 16h50 sur SRF zwei. Les commentateurs depuis le studio zurichois seront Michael Stäuble et Marc Surer.

Fin de l'ère WRC dans le nord de l'Italie
C'est non loin de la frontière suisse que se jouera ce week-end le championnat du monde des rallyes 2021. L'ACI Rally Monza marquera également la fin de 25 ans d'ère des World Rally Cars. A partir de 2022, les voitures WRC seront remplacées par des voitures de Rally1 à propulsion hybride et à carburant électrique au lieu de l'essence.

La lutte pour le titre de champion du monde des pilotes est une affaire interne au Toyota Gazoo Racing World Rally Team.

Sur les 16 épreuves spéciales, huit se déroulent sur l'Autodrome et les autres dans l'arrière-pays montagneux de Monza.

Toyota désigne le champion du monde
Soit Sébastien Ogier fêtera son huitième titre mondial à l'issue de sa dernière saison complète en WRC, soit son coéquipier Elfyn Evans s'emparera de la couronne pour la première fois.

Le Français compte 17 points d'avance sur le Gallois et Ogier s'était imposé il y a un an lors de la première édition du Monza Rally Show. Chez les constructeurs, Toyota est également en tête avec 47 points d'avance sur le Hyundai Shell Mobis World Rally Team. Avec 52 points restants, il suffit à Toyota d'une septième place pour l'un de ses trois pilotes Yaris WRC.

La chaîne Servus TV, également disponible en clair en Suisse, couvrira l'ACI Rally Monza le dimanche 21 novembre de 12h à 14h environ (rapport préliminaire, Power Stage et rapport d'après course). Samedi, la SP8 (7h30) et la SP10 (11h) seront diffusées en livestream sous ce lien. Lien sur Internet, tout comme le dimanche le SP15 (10h) et le SP16 (12h).

Un Suisse parmi des Chinois
Comme l'année dernière, le 68e Grand Prix de Macao 2021 sera une affaire exclusivement réservée aux pilotes et aux équipes de Chine, de Macao, de Hong Kong et de Taïwan, en raison des conditions strictes du Covid-19 (longue quarantaine pour les étrangers). Pourtant, un Suisse sera au départ. Comment ?

Marié à une Chinoise et résidant à Shanghai, Alexandre Imperatori participera à la Macau GT Cup au volant d'une Porsche 911 GT3 R. Comme en 2020, la course ne compte pas comme FIA GT World Cup. Le pilote professionnel de Fribourg, qui court souvent en Europe pendant l'année (par exemple aux 24 Heures du Nürburgring et à Spa en 2020), a récemment remporté une manche du Chinese Endurance Championship à Shanghai. Il connaît parfaitement le circuit Guia de Macao.

Comme le montrent les photos de sa Porsche prises en studio, Alexandre Imperatori courra sous le drapeau suisse.

Spectacle sur Internet
Comme en 2020, le Grand Prix de Macao proprement dit est réservé à la Formule 4 chinoise. Les quatre autres courses de voitures de tourisme et de GT chinoises promettent également beaucoup de spectacle, qui sera présenté pendant deux jours sur le circuit officiel de Macao. Chaîne YouTube à suivre en direct ou, en raison du décalage horaire de plusieurs heures, à regarder sur Internet.

Des manœuvres et des crashs à s'arracher les cheveux sont monnaie courante sur le tristement célèbre circuit Guia, qui traverse la ville de Macao. Cela vaut la peine d'y jeter un coup d'œil.

En Asie, le Grand Prix de Macao a à peu près la même valeur qu'un GP de Monaco en Europe. Mais le circuit de Guia serait trop étroit pour accueillir la Formule 1.

Première course de 24 heures à Sebring
Les 24H Series devaient mettre un point final à la saison de cette année avec les 24 heures de Sebring. Jamais une course aussi longue n'avait eu lieu sur ce circuit archaïque au cœur de la Floride.

Avec Daniel Allemann, qui a remporté la dernière édition des 12H de Hongrie en octobre avec l'équipe allemande Porsche Herberth, un Suisse se trouve dans le cercle restreint des favoris. Parmi eux figurent également quelques équipes américaines familières de Sebring avec leurs voitures de sport GT3.

L'équipe suisse VW défend son titre
Autorama Motorsport by Wolf-Power Racing et ses deux VW Golf GTI TCR, au sommet de leur art, sont en lice dans la catégorie des voitures de tourisme. La voiture n° #1 est en tête du championnat, mais une voiture belge, une britannique et la deuxième voiture Autorama n° #112 peuvent encore prétendre au titre. Depuis 2019, ce sont toujours les Suisses qui l'ont remporté.

Jasmin Preisig et Fabian Danz alterneront avec l'Autrichien Constantin Kletzer et le Norvégien Emil Heyerdahl dans la #1, tandis que le multi-champion TCR 2019 Miklas Born sera associé aux Finlandais Antti Buri et Kari-Pekka Laaksonen et à l'Italien Roberto Ferri dans la voiture sœur #112.

Attendre le matériel
Le matériel des équipes européennes, transporté par bateau dans des conteneurs, est arrivé trop tard en raison de tempêtes dans l'Atlantique. Les entraînements ont donc dû être reportés d'un jour et la course de 24 heures de vendredi/samedi à samedi/dimanche (départ à 13 heures). Vendredi matin, heure locale, le matériel n'était toujours pas sur place ! La question de savoir s'il y aura éventuellement un livestream comme d'habitude sera publiée sur le site des 24H Series.

f1.com

wrc.com

macau.grandprix.gov.mo/en

24hseries.com