Le groupe KW automotive est largement représenté avec ses deux marques de châssis KW suspensions et Reiger Suspensions.

Thomas Rechenberg, directeur de KW Motorsport : "Alors qu'ici, à Fichtenberg, nous nous concentrons principalement sur les développements pour le circuit, nos applications de sport automobile pour le tout-terrain sont développées par nos collègues de Reiger, aux Pays-Bas. Nous travaillons en étroite collaboration. C'est ainsi que l'un ou l'autre véhicule de rallye a déjà été utilisé sur notre banc d'essai de dynamique du véhicule vertical à 7 postes".

Installé en usine sur de nombreuses voitures de course
Depuis plusieurs années, plusieurs constructeurs automobiles misent sur les développements de KW et Reiger dans leurs programmes de sport client et leurs engagements en course.

Lors des courses d'endurance sur circuit, des voitures classées GT3 et GT4 dans différents championnats, telles que la BMW M4 GT3, la Porsche 911 GT3 R, la Mercedes-AMG GT4, la Porsche 718 GT4 RS Clubsport et la Toyota GR Supra GT4, sont équipées d'amortisseurs KW Motorsport à réglages de puissance multiples.

Thomas Rechenberg : "Actuellement, nous développons les amortisseurs pour une voiture de sport client qui sortira en 2023 et en 2022, nous équiperons pour la première fois l'une ou l'autre équipe de sport automobile DTM avec nos amortisseurs".

Domination en rallye
Des constructeurs tels que Ford, Subaru et Toyota utilisent les amortisseurs Reiger en rallye. Ainsi, lors de l'ouverture du World Rally Championship à Monte-Carlo, seules des voitures équipées d'amortisseurs Reiger se sont classées dans le top 5 : Sébastien Loeb et Isabelle Galmiche dans la Ford Puma Rally1 (galerie du milieu) ont remporté la victoire devant Sébastien Ogier et Benjamin Veillas dans la Toyota GR Yaris Rally1 et Craig Breen et Paul Nagle dans la deuxième meilleure Ford Puma Rally1.

Les clients de KW automotive ont également remporté le Rallye Dakar, long de plus de 8000 kilomètres, à travers les déserts d'Arabie Saoudite, emmenés par le Toyota Gazoo Racing avec Nasser Al-Attiyah/Mathieu Baumel (galerie de gauche). Les places 1 à 6 étaient exclusivement occupées par des véhicules équipés d'amortisseurs Reiger.

Reiger Suspension est également présent dans de nombreux autres championnats tout-terrain avec ses développements.

Des clients GT victorieux à Daytona
Ensuite, les clients KW ont également triomphé sur le circuit. Lors des 24 heures de Daytona, les clients de Porsche Motorsport ont remporté la victoire dans les catégories GTD Pro et GTD. Parmi les autres voitures GT3 équipées d'amortisseurs de course KW, on trouve les deux nouvelles BMW M4 GT3 de la BMW Team RLL (galerie à droite).

En amont de la classique américaine, l'équipe client de Porsche RS1 a également remporté la course du BMW M Endurance Challenge à Daytona avec sa nouvelle Porsche 718 GT4 RS Clubsport.

kwautomotive.de

kwsuspensions.ch

Nico Müller donne un avant-goût de ce à quoi il faut s'attendre le 8 février au col de la Flüela.

Mardi prochain à 19 heures, le pilote d'usine Audi Nico Müller poussera la voiture de sport entièrement électrique aux quatre anneaux à ses limites sur une surface de glace spécialement préparée au col de la Flüela à Davos. Le pilote de DTM et futur pilote Audi Le Mans testera l'accélération, la maniabilité et le comportement au freinage dans des conditions hivernales.

Entraînement virtuel à la conduite hivernale
Lors de l'Audi Ice Experience à plus de 2000 mètres d'altitude, les clients apprennent comment passer l'hiver en toute sécurité. Outre des conseils et des exercices utiles, l'accent est mis sur le plaisir de conduire, surtout lorsqu'il s'agit d'affronter la glace avec l'Audi RS e-tron GT.

Il s'agit de montrer ce qu'il est possible de faire avec 646 ch et le groupe motopropulseur quattro le plus avancé de tous les temps. Une expérience de conduite dynamique de première classe à vivre en direct.

Session interactive en direct
Pendant la session virtuelle interactive, vous apprendrez tout sur la technique sophistiquée de l'Audi RS e-tron GT et ce que cela signifie de conduire en toute sécurité l'Audi la plus puissante de tous les temps sur la glace et la neige.

Le point fort : dans différents défis, Nico défie les instructeurs de l'Audi driving experience et montre pourquoi il est le Suisse le plus rapide derrière le volant.

La session en direct est gratuite et se déroulera en allemand. Les autres points forts suivants vous attendent :

• Aperçu du stage de conduite hivernale d'Audi
• Présentation de l'Audi RS e-tron GT avec les vues exclusives de l'expert
• L'électromobilité dans sa forme la plus dynamique à vivre virtuellement
• Questions-réponses en direct avec le pilote de course Nico Müller
• Des images impressionnantes de l'expérience de conduite dynamique - depuis le véhicule, les airs et le bord de la piste

Comment participer
Tout ce qu'il faut savoir sur cet événement, sur l'Audi RS e-tron GT et sur la carrière de Nico Müller est disponible sur Internet (voir lien ci-dessous). L'inscription se fait via ce lien Lien .

audi.ch/ch/web/fr/innovation-erleben/events/digitale-events/audi-rs-e-tron-gt-ice-drive-nico-mueller.html

La traditionnelle course d'ouverture de la saison aux Etats-Unis s'est déroulée par des températures ensoleillées, mais inhabituellement fraîches pour la Floride et presque glaciales, surtout la nuit. Mais pour ceux qui ont suivi la course de 24 heures de Daytona en direct sur place ou - comme c'est possible en Suisse - en streaming live sur Internet, le cœur du sport automobile s'est vraiment réchauffé.

Louis Delétraz doit économiser l'essence
Dans les cinq catégories - DPi, LMP2, LMP3, GTD Pro et GTD - il y a eu d'innombrables changements de leader et des luttes pour les différentes victoires jusqu'à la chute du drapeau à damier à 13h40 heure locale. Dans la phase finale, deux Suisses étaient en route pour la victoire, mais ils ont finalement dû se contenter de la troisième place.

Louis Delétraz avait lui-même repris la tête au volant de l'Oreca de Tower Motorsports lorsqu'il a été battu par l'Américain Colton Herta et le Néerlandais Giedo van der Garde (un ancien pilote de GP Sauber) au 743e des 751 tours parcourus sur le Daytona International Speedway.

Louis Delétraz : "Il y a apparemment eu un problème lors du dernier ravitaillement, ce qui fait que le réservoir n'était pas assez plein. J'ai donc dû lever le pied et je n'ai pas pu me défendre correctement. Malheureusement, à quatre heures de la fin, nous avons déjà perdu environ une minute à cause d'une crevaison, mais nous nous sommes battus pour revenir. Sinon, cela aurait peut-être suffi".

Lors des 24 Heures du Mans en juin dernier, le Genevois avait mené jusqu'au dernier tour avant que cette voiture LMP2 ne soit victime d'un gremlin électrique.

Duel roue contre roue pour la victoire GT
Alexandre Imperatori était lui aussi légèrement déçu de cette victoire qui lui a échappé de peu et qui est toujours récompensée à Daytona par un chronographe Rolex très convoité pour tous les pilotes, même si le Fribourgeois a lui aussi fini sur le podium.

Dans un duel épique entre deux pilotes d'usine Porsche, son partenaire Laurens Vanthoor s'est incliné dans les derniers kilomètres face au Français Mathieu Jaminet. L'accrochage dans la dernière chicane a entraîné un demi-tour du Belge et une Ferrari est passée en deuxième position. Il s'agissait tout de même du premier podium à Daytona pour Imperatori et Delétraz.

Accident de Müller/Scherer
Le Franco-Suisse Nicolas Lapierre, qui court sous licence française, a terminé à la quatrième place ingrate avec son équipe LMP2, à seulement 13 secondes de l'équipe gagnante.

L'Oreca de Nico Müller et Fabio Scherer, plusieurs fois en tête, a abandonné au milieu de la nuit, peu avant la mi-temps, suite à un accident encore inexpliqué avec le Lucernois au volant. Jusqu'alors, Müller avait réalisé le meilleur tour en course de son équipe et le douzième meilleur tour des 40 pilotes LMP2.

Pas de répétition pour Ellis
Trois Suisses malchanceux ont également accumulé les tours de tête avec leurs voitures GT3. La Mercedes-AMG de Philip Ellis, vainqueur de l'année dernière, a dû faire un arrêt aux stands qui a pris beaucoup de temps dimanche matin, après un total de 151 tours en tête de la catégorie GTD, en raison de dommages à la carrosserie. Avec huit tours de retard, il ne restait plus que la sixième place.

La course s'est terminée après trois heures et demie pour la Mercedes de Raffaele Marciello. Pour Rolf Ineichen, vainqueur de la catégorie en 2018 et 2019, et ses coéquipiers Lamborghini, le plaisir s'est arrêté à la 14e heure, après 400 tours, alors qu'ils venaient de prendre la tête.

Acura/Honda bat Cadillac
La victoire finale est revenue à l'Acura DPi des champions d'Indy Helio Castroneves (BR) et Simon Pagenaud (F) ainsi qu'à Oliver Jarvis (GB) et Tom Blomqvist (S). La marque américaine Honda Acura a fêté une double victoire sur les cinq Cadillac également engagées dans la catégorie reine DPI.

Les quatre équipes les plus rapides ont parcouru chacune environ 4354 kilomètres à une moyenne de 181,3 km/h. Les résultats complets sont disponibles sur ce site. Lien.

Classement général 24H Daytona 2022

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daytonainternationalspeedway.com

La saison IMSA 2022 débute traditionnellement par les 24 heures de Daytona. 61 voitures prendront le départ le samedi.

Les Américains parlent certes de la 60e édition des célèbres 24 heures de Daytona. Mais en réalité, les premières courses de voitures de sport n'ont duré que quelques heures avant la véritable première du marathon, en 1966. Elle s'est terminée par le triomphe du légendaire duo Ken Miles/Lloyd Ruby sur une Ford MkII de Shelby American.

La fin d'une époque
Aujourd'hui, jusqu'à cinq pilotes se relaient au volant des voitures de sport les plus rapides du type Daytona Prototypes (DPi). Pour eux, 2022 marquera la fin d'une époque, car à partir de l'année prochaine, les courses se dérouleront selon le règlement de la LMDh, également en vigueur en Europe, c'est-à-dire au Mans.

Si, ce week-end, seules des équipes américaines avec cinq Cadillac et deux Acura se disputent la victoire, à partir de 2023, des marques renommées comme Porsche, Audi et BMW seront de nouveau aux avant-postes de la compétition.

Seulement Siffert et Lienhard
Les seuls vainqueurs suisses au classement général de l'histoire de la Rolex 24 At Daytona, nom officiel de la course, furent Jo Siffert en 1968 sur Porsche 907 et Fredy Lienhard en 2002 sur Dallara SP1.

Les choses devraient en rester là, car aucun pilote suisse ne fait partie des équipes DPi favorites. Mike Rockenfeller, originaire de Thurgovie et engagé sur un Caddy de pointe, possède certes le passeport suisse depuis un certain temps, mais il reste allemand en tant que pilote de course.

Müller est confiant
En revanche, la présence suisse est forte dans la catégorie LM P2, où huit équipes se disputent la victoire avec dix Oreca 07-Gibson V8 techniquement identiques. Nico Müller débute sa campagne LMP2, qui le mènera également au WEC, avec High Class Racing. L'un de ses trois partenaires est Fabio Scherer, qui, comme le pilote DTM, court pour la première fois aux Etats-Unis.

L'équipe danoise ne fait certes pas partie des meilleures dans l'absolu, mais tout est possible sur la distance.

Nico Müller : "Jusqu'à présent, l'équipe fait un bon travail. Nous ne sommes certainement pas les favoris, mais nous pensons tout de même avoir de bonnes chances, car notre rythme a été vraiment prometteur jusqu'à présent".

Delétraz dans l'équipe gagnante
L'équipe prendra le départ de la course en quatrième position en LMP2. L'attribution des places sur la grille de départ s'est faite dimanche dernier en fonction du résultat d'une course de qualification de 100 minutes, au cours de laquelle Scherer et le Danois Dennis Andersen se sont relayés au volant. Sans perte de temps lors de l'arrêt au stand, la P2 aurait été possible.

Pour le Genevois Louis Delétraz, Daytona et les caractéristiques particulières du circuit sont également un terrain inconnu. Le champion en titre de la série européenne Le Mans a trouvé refuge chez Tower Motorsports aux Etats-Unis, qui a remporté le Petit Le Mans à Road Atlanta en novembre dernier et l'année précédente. Ils savent donc comment s'y prendre.

Deux classes pour les voitures GT3
Il y a également quatre candidats rapides au podium dans les deux catégories GT selon le règlement GT3. Les organisateurs de la série nord-américaine de courses de voitures de sport ont mis en place une nouvelle structure de classe pour ces dernières.

L'ancienne catégorie GTLM n'existe plus. Elle est remplacée par la nouvelle catégorie GTD-Pro, dans laquelle les pilotes professionnels peuvent se partager une voiture. Dans la catégorie GTD, il doit y avoir au moins un "amateur" à bord lors de chaque course, et même deux lors des 24 heures de Daytona.

Ineichen et Ellis de retour sur les lieux du succès
Même s'il n'est pas professionnel, Rolf Ineichen court avec trois puissants Italiens sur une Lamborghini Huracán en GTD-Pro. Dans une constellation similaire, le Lucernois a déjà gagné à Daytona (2018 et 2019) et à Sebring (2019).

Philip Ellis, lui aussi, sait comment s'y prendre. Il y a un an, son étoile s'est véritablement allumée grâce à une lutte héroïque pour la victoire en GTD. Élevé ensuite au rang de pilote d'usine Mercedes-AMG, le Zougois a également gagné en DTM. Avec l'équipe américaine Winward, qui a fait ses preuves, il veut réitérer son succès de l'année dernière.

Le Fribourgeois Alexandre Imperatori sur une Porsche et le Tessinois Raffaele Marciello sur une Mercedes sont d'autres prétendants au podium grâce à des partenaires d'équipe également forts.

L'intégralité des 24 heures en livestreaming
Inauguré en 1959, le Daytona International Speedway en Floride se distingue des autres circuits notamment par ses virages très relevés : l'angle d'inclinaison dans les passages ovales du circuit de 5,73 kilomètres peut atteindre 31 degrés.

Le départ de la course sera donné le samedi 29 janvier à 13h40 heure locale (19h40 CET). En dehors des États-Unis et du Canada, elle sera diffusée en direct sur Internet (voici le lien direct). Le livetiming est disponible sous ce lien Lien.

Résultat de la course de qualification Liste de départ officielle

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Les moments forts de l'étape finale, qui s'est soldée par la huitième victoire de Sébastien Loeb au Monte-Carlo.

Le 90e Rallye Monte-Carlo 2022 a tenu toutes ses promesses. Les deux Sébastien - Ogier sur la Toyota GR Yaris Rally1 et Loeb sur la Ford Puma Hybrid Rally1, elle aussi nouvelle - se sont livrés à un duel grandiose pour la victoire dès le départ jeudi soir. Aucun pilote de classe mondiale des trois teams constructeurs n'aurait pu prétendre à ce titre dans des circonstances normales.

Une classe à part
Jeudi soir, le champion du monde Ogier a donné le tempo en signant les meilleurs temps dans les deux premières spéciales classiques. Loeb, à qui il ne restait que quelques jours après le Dakar (2e) pour s'adapter totalement à la voiture hybride de plus de 500 ch et à la climatisation, ne s'est laissé distancer que de façon marginale.

Lors de la deuxième étape, le neuvième champion du monde a fait jouer toute sa classe et sa routine pour prendre la tête avec quatre meilleurs temps consécutifs en six SP. A la fin de la journée, Loeb avait dix secondes d'avance sur son cadet. Seul le pilote Ford Gus Greensmith a réussi à se mettre en évidence en signant le premier meilleur temps WRC de sa carrière.

Départ anticipé plutôt que miracle
Le troisième jour, Ogier a de nouveau retourné la situation en sa faveur. Avec 21,1 secondes d'écart après 13 des 17 spéciales, l'affaire semblait pliée en faveur du champion du monde, qui ne défendra pas son titre en 2022. Mais c'est à la fin que l'on fait les comptes.

Dans la 16e spéciale, qu'Ogier avait abordée avec 24,6 secondes d'avance sur Loeb, le leader a subi une crevaison progressive. Avec 34 secondes de retard, sa perte de temps était certes limitée, mais avec 9,5 secondes d'avance sur son adversaire avant la spéciale finale, il ne pouvait plus espérer qu'un miracle pour remporter sa neuvième victoire au "Monte".

Ogier (galerie à gauche) a été pénalisé de dix secondes dans la Power Stage finale pour avoir pris un départ anticipé, ce qui ne devrait pas arriver à un multi-champion, et l'affaire était claire. Loeb a conservé une demi-seconde d'avance sur la route et 10,5 sur la fin.

La lutte pour le titre est lancée
Avec sa nouvelle copilote Isabelle Calmiche, l'Alsacien de bientôt 48 ans a fêté sa 80e victoire en WRC. Ils sont ainsi les premiers vainqueurs de la nouvelle ère hybride du WRC.

L'Irlandais Craig Breen a rendu le triomphe du M Sport Ford World Rally Team d'autant plus doux. M Sport Ford WRT est en tête du championnat du monde des marques/équipes après le début de la saison. Si l'on tient compte du fait que Loeb et Ogier ne font plus que des apparitions sporadiques, le Finlandais Kalle Rovanperä, troisième au classement, est en fin de compte le premier leader du WRC en 2022 grâce aux cinq points supplémentaires obtenus pour sa victoire dans la Power Stage qui se termine.

En course, Rovanperä (Toyota), Gus Greensmith (Ford) et Thierry Neuville (galerie à droite), qui a réalisé le seul meilleur temps en SP pour Hyundai, ont occupé les places suivantes sous le podium. Le vice-champion du monde Elfyn Evans (Toyota), considéré par beaucoup comme le successeur potentiel d'Ogier, n'a marqué que quelques points au championnat du monde en terminant 21e du classement général. Une sortie de route lui a coûté beaucoup de temps. Ott Tänak (Hyundai), champion du monde 2019, a abandonné après deux crevaisons et sans roue de secours pour l'étape de liaison.

Podium senior pour Olivier Burri
Les deux équipes suisses se sont bien défendues. Olivier Burri n'a certes rien pu faire en WRC2 Open pour les anciennes voitures R5 et les actuelles voitures de Rally2. En WRC2 Masters Cup, la sous-classement pour les pilotes de plus de 50 ans, le Bernjurassien de Belprahon s'est toutefois emparé de la deuxième place au volant d'une Volkswagen Polo.

En grinçant des dents, Burri a dû reconnaître qu'il n'avait aucune chance face à l'Italien Mauro Miele sur une Skoda Fabia. Ce n'est que sur les SP13 et SP17 qu'il a pu lui arracher au moins deux meilleurs temps, ainsi qu'au Belge Freddy Loix (ancien pilote d'usine WRC), qu'il a relégué à la troisième place du classement général.

Dans le groupe RC4 composé de 15 équipes, Sacha Althaus et Lisiane Zbinden ont pris une bonne quatrième place au volant de leur Renault Clio Rally4. Il leur a manqué plus de quatre minutes pour atteindre le podium, mais le duo peut être satisfait de cette place.

acm.mc

wrc.com

Le jeune Argovien est considéré comme un super talent et un diamant brut : à seulement 16 ans, il a été le plus jeune pilote à prendre le départ de l'ADAC GT Masters en 2017. La saison dernière, Ricardo Feller a remporté le titre de champion avec Christopher Mies dans cette série de courses très disputée pour voitures de sport GT3.

Le groupe allemand de concessionnaires automobiles réalise son objectif de rêve
Mais le grand objectif du jeune homme de Suhr a toujours été le DTM.

Ricardo Feller : "C'est tout simplement cool que ce rêve devienne réalité. Je veux me mesurer aux meilleurs en DTM, et chez ABT Sportsline, je suis à la bonne place. Je suis conscient que 2022 sera un défi. Indépendamment de mes coéquipiers, la compétition en DTM sera probablement encore plus forte que l'année dernière. Je veux me mesurer aux meilleurs - et ils courent actuellement en DTM".

Son entrée dans le DTM est rendue possible par le groupe Scherer. Avec 31 concessions automobiles réparties sur 19 sites, il fait partie des plus grands concessionnaires automobiles d'Allemagne. Scherer est lié par un partenariat étroit de longue date avec ABT Sportsline, le leader mondial de la personnalisation des véhicules du groupe Volkswagen.

Conséquences d'un bon contact avec les clients
Le contact avec le jeune Suisse a également été établi dans le cadre des affaires.

Le chef d'entreprise Christian Scherer : "Le sport automobile a toujours été un excellent moyen de nouer des contacts. La famille de Ricardo possède un garage en Suisse, dans lequel Ricardo travaillait encore activement il y a peu. Ils sont clients chez nous et c'est ainsi que nous avons appris à nous connaître et à nous apprécier personnellement. Ricardo est très recherché sur le marché des pilotes. Il a reçu de nombreuses offres. Je suis fier qu'il ait choisi Scherer Sport. Il a toutes les qualités pour devenir l'un des plus grands".

Pilote d'usine et ambassadeur de la marque
Ricardo Feller a obtenu un contrat d'usine d'Audi Sport customer racing pour 2022. Avec Nico Müller et Patric Niederhauser, deux autres Suisses sont déjà au service des quatre anneaux. En revanche, Rahel Frey se retire du cadre après de nombreuses années.

Outre le DTM, Feller participera à de nombreuses autres courses pour Scherer Sport au cours de la saison à venir. Il est en outre le nouvel ambassadeur de la marque.

Christian Scherer : "Ricardo n'est pas seulement un pilote de course rapide, il a aussi beaucoup de charme et est éloquent. Avec son style, il sera bien accueilli par nos clients et nos collaborateurs. De plus, il vient d'une entreprise familiale dont la gestion est similaire à celle de notre entreprise. C'est parfait".

Ricardo Feller fera ses débuts début avril lors des essais officiels du DTM à Hockenheim. Le DTM 2022, qui comptera huit week-ends de course au total, débutera sa nouvelle saison du 30 avril au 1er mai à Portimão, au Portugal.

abt-sportsline.de

Le "Monte" marque le début d'une nouvelle ère dans le rallye. Le teaser montre les trois modèles hybrides en action.

Les trois constructeurs Ford, Hyundai et Toyota ont intégré la même unité hybride dans leurs nouvelles voitures de type Rally1. L'entreprise allemande Compact Dynamics fournit déjà ce type de composants pour la Formule 1, le WEC et la Formule E.

Plus de 500 ch de puissance système
Le moteur électrique fonctionne derrière la boîte de vitesses, sur l'arbre de transmission. La batterie de 3,9 kWh est couplée à un moteur MGU qui fournit jusqu'à 100 kW de puissance (134 ch) et 180 Nm de couple à l'accélération. La puissance maximale du système pour les moteurs à combustion interne 1600 turbo à assistance électrique est désormais supérieure à 500 ch.

Cela s'accompagne de suspensions et de cellules de sécurité plus robustes. Le mode hybride, l'utilisation d'énergie propre pour le parc d'assistance et l'utilisation de 100 % de carburant propre (eFuel) constituent également une approche durable avec laquelle la FIA inaugure la nouvelle ère du WRC.

Duel entre les deux multi-champions
La Toyota Yaris Rally 1 #1 de l'octuple champion du monde Sébastien Ogier est en tête de la liste des 75 équipes engagées au Rallye Monte-Carlo. Le Français ne roulera ensuite que sporadiquement et ne défendra donc pas son titre. Ses coéquipiers seront le vice-champion du monde Elfyn Evans (GB), Kalle Rovanpera (FIN) et le Japonais Takamoto Katsuta.

Pour Hyundai, Thierry Neuville (B), l'Estonien Ott Tänak et Oliver Solberg (S) seront au départ avec les nouvelles i20 N Rally1. Les nouvelles Ford Puma Hybrid Rally 1 de M-Sport seront confiées à l'Irlandais Craig Breen, Gus Greensmith (GB), Adrien Fourmaux (F) et, pour l'instant, uniquement au "Monte", au nonuple champion du monde Sébastien Loeb. Après avoir terminé deuxième du Dakar, Loeb s'est rendu directement dans les Alpes maritimes pour les derniers essais du WRC. Le duel Ogier-Loeb donne donc un caractère explosif supplémentaire à ce début de saison.

Avec deux Suisses
Deux Suisses espèrent remporter un succès dans leur catégorie. L'ancien champion Olivier Burri sera au départ pour la 24e fois en Principauté avec son coéquipier Andersson Levratti, comme en 2019 et 2020 sur une VW Polo GTI Rally2. Le Bernjurassien vise la victoire en WRC2 Master Cup, un classement pour les plus de 50 ans.

Sacha Althaus et Lisiane Zbinden s'engagent comme dans le championnat suisse des rallyes avec leur Renault Clio Rally4. Ils espèrent eux aussi décrocher un podium dans leur catégorie.

En direct sur Servus TV
Le départ sera donné le jeudi 20 janvier au soir à Monaco, suivi de deux épreuves spéciales nocturnes. L'arrivée après 17 épreuves spéciales aura lieu le dimanche 23 janvier peu après midi.

La chaîne de télévision autrichienne Servus-TV retransmet plusieurs SP en direct. Pour savoir lesquels, il suffit de cliquer sur ce lien Lien. Sur le Chaîne YouTube du WRC, il y a aussi des résumés en continu des différentes étapes.

acm.mc/

wrc.com

Steve Zacchia et son papa Patrick d'Yverdon-les-Bains se sont relayés au volant d'une Ligier JS2 R avec trois Français tout aussi rapides et fiables. Le quintette était déjà en tête lors des qualifications et a dominé presque à sa guise les événements dans la catégorie TCX qui compte dix voitures. L'importateur en Suisse de ces voitures de sport Ligier parfaitement adaptées à la compétition pour les clients est Horag Hotz Racing de Sulgen.

Dans la division TCE de toutes les voitures de tourisme, seules les deux meilleures équipes TCR ont effectué quelques tours de plus pendant les 24 heures de l'Autodrome de Dubaï. Ici, la première moitié de la course sentait bon un nouveau succès suisse comme les années précédentes.

Victoire du TCR pour un Thaïlandais
Une panne de différentiel et une rupture d'amortisseur sur l'Audi RS3 LMS (galerie de gauche) ont coûté un temps précieux à l'équipe belge AC Motorsport, leader de la nuit et dont les Suisses Yannick Mettler et Miklas Born étaient engagés pour la première fois.

Une Cupra TCR thaïlandaise, elle aussi très bien pilotée, a ainsi pris la tête de la catégorie jusqu'à l'arrivée. Mettler et Born, accompagnés de leurs deux partenaires belges, ont pu terminer à la deuxième place.

Turbulences chez Autorama Motorsport
L'Audi engagée pour la première fois par Autorama Motorsport by Wolf-Power, que le professionnel Rob Huff avait conduite en pole position, se trouvait également sur la voie d'une possible victoire. Après le remplacement de la boîte de vitesses défectueuse, la course était terminée pour le numéro #116.

En revanche, les deux VW Golf (galerie du milieu) n'ont pas eu beaucoup de chance dès la première heure. La #112 a été littéralement torpillée par une Porsche dans la nuit et a dû être ramenée au stand. Le changement de l'essieu arrière a duré environ 20 minutes.

La voiture de maître portant le numéro de course #111 était bien partie, jusqu'à ce qu'un tête-à-queue avec impact de Constantin Kletzer nécessite une réparation d'environ une demi-heure. A une heure de la fin, les deux équipes Autorama n'étaient séparées que de 20 secondes après une belle remontée qui s'est déroulée sans problème.

Le Britannique Alex Morgan, dernier coureur rapide, a ramené le podium à la maison pour lui et ses quatre partenaires d'équipe, dont le seul Suisse était Gustavo Xavier. Jasmin Preisig, Fabian Danz et leurs deux collègues ont dû se contenter de l'ingrate quatrième place.

Double victoire pour l'équipe client belge d'Audi
La victoire finale est revenue à l'équipe belge MS7 by WRT, qui bat pavillon saoudien, avec les pilotes Mohammed Saud Fahad Al Saud, Axcil Jefferies, Christopher Mies (champion ADAC GT 2021 avec Ricardo Feller), Dries Vanthoor et Thomas Neubauer (galerie de droite). Ils se sont imposés devant leurs coéquipiers de WRT, Benjamin Goethe, Arnold Robin, Maxime Robin, Jean-Baptiste Simmenauer et Frédéric Vervisch. L'équipe gagnante a mené pendant près de 90% de la distance.

Parmi les Suisses qui ont pris le départ dans les catégories GT, seul Raffaele Marciello a pu se réjouir d'un résultat de premier plan. Le Tessinois a terminé à moins de huit secondes de la troisième place du classement général.

Échec des pilotes GT suisses
Parmi les victimes de l'abandon figuraient les équipes de Dinamic Motorsport (Porsche), également dans le groupe de tête au début, avec trois Suisses, et la Lamborghini de Rolf Ineichen et Adrian Amstutz.

Les deux équipes Porsche de Fach Auto Tech engagées dans les classes de coupe 992-Pro et 992-Am ont également été éliminées prématurément. Les raisons sont expliquées sur la page d'accueil de l'équipe schwytzoise à cette adresse. Lien de l'année dernière.

Daniel Allemann, multiple vainqueur des 24H Series, n'a pas participé à la course après un grave accident de sa Porsche lors de l'entraînement.

D'autres équipes GT suisses ont connu le même sort que la Porsche de Fach lors de la collision avec une KTM GT2.

Classement par classe Classement général

24hseries.com

Le magazine LowRide a réalisé le projet R 18 M en coopération avec American Dreams, tandis que la R 18 Aurora a été développée par Garage 221 pour le compte de BMW Motorrad Roma.

Couleurs typiques bleu, blanc et rouge
La R 18 (galerie ci-dessous) s'inspire de l'histoire du sport automobile de la marque et arbore les couleurs typiques bleu, blanc et rouge. L'Aurora s'inspire des cruisers plus anciens.

Pour l'Aurora, Garage 221 a eu recours, entre autres, à la selle d'une BMW R 1200 C de 2005, aux supports de clignotants d'une R 100 de 1982 et à une partie du cadre arrière d'une K 75 de 1991, qui ont été remodelés.

Pour la peinture des éléments de carrosserie, le code couleur d'une BMW R 100 RT de 1983 a été utilisé. La calandre du radiateur d'huile s'inspire des voitures BMW des années soixante.

bmw.ch

Les voitures d'amateurs représentent, par leur histoire, une histoire culturelle vivante. Aujourd'hui, The Motor Chain a été créée afin de préserver l'histoire de nos voitures de collection et d'accroître la confiance en leur état.

Toutes les données et tous les documents relatifs aux véhicules peuvent ainsi être archivés rapidement et efficacement. Le propriétaire du véhicule peut le consulter à tout moment, que ce soit sur son téléphone portable, sa tablette ou son ordinateur.

Une documentation digne de confiance
Les données peuvent être rendues accessibles aux certificateurs ou à l'atelier afin d'archiver d'autres documents. Ainsi, The Motor Chain transforme la documentation du véhicule en une histoire irréfutable à vie.

En outre, The Motor Chain offre aux concessionnaires et aux propriétaires de véhicules privés la possibilité de rendre la documentation accessible en ligne à des personnes de confiance. Par exemple, pour répondre à des questions sur les besoins d'entretien et de maintenance ou pour créer une documentation de vente.

Un historique complet des véhicules
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La Motor Chain permet également de mettre à jour en permanence l'historique d'un véhicule. La sauvegarde est assurée par une technologie de chaîne de blocs inaltérable.

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